Histoire. Une personne malade. Sa maison ne désemplit pas. A celui qui s'émerveille de tant de gentillesse, elle répond : j'ai beaucoup donné. Sénilité ? Non. Il faut en arriver à la réalité : il y avait bien rapport marchand.
L'égoïsme n'est pas ce que l'on voudrait nous faire croire ? Le mal. Plutôt un principe de vie, en quelque sorte durable ? L'égoïsme comme échange immédiat. Mais qu'achète-t-il ? N'achète-t-il pas de l'affection ? Dans notre cas, c'est peut-être de puissance qu'il est question. C'est faire ce que l'on veut des gens. Ils échangent leur liberté contre de l'argent.
Plus curieux. La malade avait peur des réelles manifestations d'affection.
Morale de l'histoire ? Quand la personne a cru qu'elle n'aurait pas les moyens d'acheter les services dont elle avait besoin, elle a mis fin à sa vie. Le risque de l'amour fut au dessus de ses forces ?
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