On parle d'actes "homophobes". Pourtant, cela fait des décennies que l'on nous enseigne que cela n'est pas bien. Comment expliquer ce paradoxe ?
Et si cette communication avait fini par faire croire à la majorité hétérosexuelle que ceux qui la gouvernaient ne voulaient pas d'elle ? Et s'il y avait d'autres façons, efficaces, elles, de faire aimer la différence que le lavage de cerveau ?
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