Un virtuose du violoncelle disait, en substance : "pour gagner ce concours, j'ai fait ce qu'il fallait. Une fois que je l'ai eu gagné, j'ai fait comme je l'entendais". (Dans Les grands entretiens de France Musique.)
Idem pour les concours et les élections de nos présidents ? Nous croyons sélectionner selon nos désirs, alors que nous donnons le pouvoir à des gens qui les rejettent ?