Il y a quelque-chose de propre à la littérature anglaise ou américaine : la phonétique.
Les nations anglo-saxonnes sont faites de couches de populations diverses qui ont chacune leur langage. A proprement parler, la plupart des Anglo-saxons sont des analphabètes. Un grand auteur se doit de rendre ces différences de langue, de manière phonétique. C'est parfois compliqué à comprendre. Par exemple chez Walter Scott, lorsqu'il s'agit d'un Ecossais inculte, du 18ème siècle, qui parle, mal, la version écossaise de l'anglais de l'époque...
Question : sachant que tout le personnage est dans son parler phonétique, comment faire pour traduire ses propos sans le vider de son intérêt ?