Ce qui semble vertueux aujourd’hui était ce que The Economist dénonçait hier (Early in, early out et Strong as an ox).
- La Chine devrait se tirer mieux de la crise que ce qui avait fini par se murmurer. Son secret ? La mainmise de l’état sur l’économie. Les banques lui appartenant, elles n’ont pas de vague à l’âme, elles prêtent à qui on leur demande de prêter. Les entreprises d’état n’ont plus le droit de licencier.
- Quant au Japon, 50% de sa production part à l’exportation. Et elle est spécialisée en électronique et automobile. D’où récession brutale. Mais l’amortisseur social japonais devrait permettre au pays de se redresser rapidement. En particulier les retraités qui prêtaient main forte à l’économie vont revenir à la maison, et ainsi éviter la croissance du chômage. L’avenir semble devoir être peu glorieux : le ressort est cassé, le pays est vieux, il boîte.
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