dimanche 20 mars 2011

Laura

Film d’Otto Preminger, 1944.

Comme les goûts changent ! dire qu’on a aimé les chapeaux et les coiffures de Gene Tierney, et sa musique de guimauve favorite. Autres temps, autres mœurs. Les gros durs qui fondent devant des beautés fatales, c’est fini.

On retrouve dans ce film un schéma qui semblait usuel à cette époque, à savoir la femme qui travaille, et qui réussit, entourée de courtisans, dont les plus dangereux sont les plus mièvres, de vrais européens. Happy end : le fruste et solide Américain décroche la timbale. 

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