Conséquences d'une succession, j'ai fait une étude la relation client de nos grandes entreprises.
Globalement : elles sont incapables de traiter correctement la question du décès. Les lettres, parfois avec formule de condoléance, sont adressées au défunt ! Et ce sont généralement des injonctions de payer !
Globalement aussi, qu'il est frustrant de devoir affronter une machine qui vous demande de taper un, deux ou trois, puis encore, et encore, et votre code client, à dix chiffres, qui ne parvient pas, généralement, à l'opérateur. Mais, quand on n'a pas été coupé après une demi-heure d'attente, et que l'on arrive à l'homme, ce n'est ouf que chez ENGIE, EDF ou VEOLIA. Chez SFR, on a un individu, probablement à l'étranger, qui n'est au courant, et responsable, de rien. Kafka. Et, dans certaines circonstances, en particulier lorsque l'on a perdu un proche, cela rend fou. A tel point que l'on peut passer de Charybde (SFR), en Orange (Scylla), car Orange détient probablement la palme de la relation client détestable.
Dans ce monde haïssable, la Maif fait du bien. Certes les processus administratifs ne semblent pas au point : trois mois après le décès, il n'était pas pris en compte. Mais que les gens y sont gentils, et serviables !
Curieusement, les impôts sont aussi excellents. Pas de machine, un être humain répond au téléphone, il est compétent, et il vous dépanne rapidement.