Le psychologue Adam Grant raconte l'histoire d'un noir Américain, qui fait changer d'opinion sur les noirs le Ku Klux Klan. A tel point que l'un des anciens dignitaires du mouvement en arrive à lui demander d'être parrain de sa fille.
Ce qui m'a étonné dans cette histoire n'est pas tant le courage et l'efficacité du noir, que le changement des blancs. Car il faut encore plus de courage pour refuser les convictions du groupe social avec lequel on vit, que pour aller convertir un groupe qui n'est pas le sien. Ce qui m'a fait penser que Clint Eastwood avait peut-être raison. L'Américain moyen est une personne de principes, qui décide seule, en son âme et conscience.
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