D’une certaine façon c’est un adepte de ce que j’appelle le « Feedback de groupe » : il veut nous mettre en face de nos turpitudes. Quelles sont-elles ? Nous sommes des privilégiés. Plus exactement nous avons tous des « rentes » : nous bloquons la concurrence, d'où surprofits. En fait, nous nous tirons dans les pieds : à cause de ces rentes, la société est globalement inefficace, et nos rentes sont inférieures aux revenus que nous donnerait une société fonctionnant harmonieusement (cf. Le Dilemme du prisonnier de la Théorie des jeux). Son idée est de racheter ces rentes. Vu le raisonnement ci-dessus, le retour sur investissement ne peut qu’être positif.
Pour en savoir plus:
Pour en savoir plus:
- DELPLA, Jacques, WYPLOSZ, Charles, La fin des privilèges : Payer pour réformer, Hachette Littératures, 2007.
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