Plus d’Américains ont été tués par des armes à feu en 18 ans, de 1979 à 1997, que durant les guerres étrangères, depuis l’indépendance.
30.000 personnes périssent chaque année. Ce qui est finalement peu en comparaison des 300 millions d’armes du pays.
Et si le carnage à l’arme à feu était un fait social (au sens de Durkheim). Un rite qui permet aux exclus d’attirer l’attention publique ? Un moyen de régulation, nécessaire à la survie de l’individualisme d’une société contre nature ? D’ailleurs que feraient les forcenés sans arme à feu, des attentats-suicides ?
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