Francis Fukuyama semble penser, comme Aristote, que le communisme chinois n’est pas le mal absolu mais un mode de gouvernement approprié à des conditions particulières et qui peut être durable.
Comme Aristote, il en est venu à croire que l’histoire n’est pas achevée, qu’elle ne converge pas vers un type d’organisation (libéral) particulier, mais qu’elle n’est que changement.
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