- Notre capacité à utiliser les pronoms différemment d’un moment à l’autre trahirait notre aptitude à changer de perspective.
- Du type de mots utilisés il est possible de distinguer le texte d’une femme de celui d’un homme.
- Le subalterne tendrait à écrire « je », le supérieur serait neutre.
- Les gens qui ont un esprit qui catégorise utilisent plus de noms que ceux qui tendent à raconter des histoires, dont le discours est relativement plus riche en pronoms et en verbes. Et les études (au moins aux USA) favoriseraient les premiers par rapport aux seconds.
On apprend aussi qu’écrire ses expériences traumatisantes modifie sa façon de les percevoir…
Compléments :
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