En musique, peinture ou sculpture, ce qui est goûté par la critique tend à être une forme d’abstraction. Je n’ai pas l’impression qu’il y ait eu l’équivalent en littérature. (Le Parc de Philippe Sollers ?)
Le roman, comme le cinéma, a besoin de nombreux clients pour nourrir son industrie ? Ce n’est pas le cas de la peinture et de la sculpture sur lesquels spéculent un petit nombre de gens très riches ?
Résultat : ils sont le reflet de cultures différentes : population dans son ensemble d’un côté, élite de l’autre ?
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