Hier, j'entendais dire (Place de la toile, de France Culture) que les bonnes nouvelles se répandaient plus vite que les mauvaises sur les réseaux sociaux. Mais qu'elles étaient des armes de dépression massives : par contraste, elles soulignaient l'échec de ceux qui les lisaient.
Est-ce un phénomène mondial ou français ? Blues national, endémique, ou fond de justesse ? Ceux qui publient leurs succès claironnent la juste rétribution de leur mérite ? Les autres se sentent laissés pour compte ? Symptôme d'une société qui n'a plus rien de solidaire ? Frissonnements d'un printemps français ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire