J'ai toujours tort, dit ce blog. Et il est vrai que c'est l'impression que j'aie. Mais pourrais-je avoir raison ?
Il me semble que, dans le changement, il y a un moment étrange. Alors, on voit exactement ce qu'il faut faire, mais on agit à l'opposé. Par exemple, on utilise le bon mot, mais un mot a deux acceptions, contraires. Et on se sert de la mauvaise. Typiquement, on peut utiliser "aimer" dans "aimer ses enfants" et "aimer le poulet".
Mais il y a des gens qui ont toujours raison, au moins dans leur existence professionnelle. C'est le cas de Christian Kozar. Il a mené une vie d'aventures. Elle l'a fait rencontrer des prises d'otages, des redressements d'entreprise et des crises sociales, notamment. Parfois, il a été en danger. A tous les coups, il a pris une décision inattendue, qui était judicieuse a posteriori. C'est ce qu'il appelle "le vol de la bécasse". La bécasse est difficile à tuer, parce qu'on ne sait pas où elle va, alors qu'elle finit toujours par atteindre son but.
Il donne une anecdote pour expliquer son mécanisme intellectuel. Si l'on montre à des diplômés une boîte et on leur demande ce qu'elle contient, ils vont faire des conjectures. Si l'on fait de même avec des enfants, ils vont l'ouvrir. Et si, pour bien décider, il fallait garder une âme d'enfant ?
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