Nous avons tous des grilles de décodage différentes, si bien que l’incompréhension pose des problèmes colossaux au changement, et le fait échouer bien souvent. Or, curieusement, il semblerait que la musique ne pose pas ce type de problème ; que, du moins pour les grands sentiments qu’elle véhicule, elle soit décodable de la même façon par tout homme, quelle que soit sa culture.
Une partie de l’explication viendrait de ce que le décodage de la musique met l’auditeur dans l’état (fait faire à ses muscles le même travail) de celui qui l’a produite. (Vrai pour le chant, l’instrument produirait un équivalent chant ?) Ce serait pour cela que l’on arriverait à synchroniser les mouvements humains grâce à elle : armées marchant au battement du tambour.
Je m’en retourne à ma réflexion sur la différence entre arts élitiste et populaire. Si tout le monde ressent la musique de la même façon, cela signifie qu’un sentiment qui m’est désagréable serait agréable à d’autres. Ce qui irait dans le sens de mes théories : Millenium.
Compléments :
- Décodage et changement : Les résistances organisationnelles au changement. La musique ne fait pas parti des outils du changement. C’est un tort.
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