J’en tire le curieux sentiment que notre capitalisme est tellement lié à la culture anglo-saxonne que même s’il ravage de temps à autres Angleterre et Amérique, il ne peut faire que des dégâts effroyables entre des mains moins expertes. Et que l’on n’est jamais autant en danger que lorsque l’on croit l’avoir maîtrisé (cf. le Japon de la fin des années 80).
Compléments :
- Une raison pour conserver des Anglo-saxons dans l’UE ?
- The Economist pense effectivement que la réforme par la Grande Bretagne de ses banques mérite d’être imitée, ce pays ayant une expérience sans équivalent dans ce secteur. (Good fences)
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