Alors, pourquoi s’acharne-t-on à réduire nos déficits, au risque d’une grande dépression ?
Il y a l’idéologie allemande, bien sûr. Mais, elle n’a pas toujours été aussi intransigeante. Il y a les « marchés » aussi. Mais ils ne semblent pas penser la même chose de l’Amérique, hyper endettée, et de l’Europe, qui l’est moins. Alors, serions nous influencés par un libéralisme, qui juge le moment idéal pour liquider États et protection sociale ?
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