Le film Conte de Noël montre une mère utilisant un enfant
comme réservoir de pièces détachées.
Illustration d’une tendance naturelle du libéralisme. Estimer
qu’être libre, c’est ne suivre que son intérêt égoïste. Cela conduit à la lutte
de l’homme contre l’homme. Et à la victoire du fort sur le faible. L’enfant,
faible par construction, est tout désigné pour être la victime de ce système.
La meilleure façon de procéder, probablement, est
l’éducation. (Ce qu’avait compris 68.) C’est dans l'enfance que le cerveau se
câble. La technique à utiliser alors pourrait être celle des Pavloviens ou des Béhavioristes :
associer ce qui est bien pour soi, ou non, à des stimulations agréables ou non,
pour l’autre. On peut ainsi construire un esclave. Mais, ça ne semble pas
marcher parfaitement. Les psychologues notent que l’animal, l’homme ?, se
« déprogramme » de lui-même. Mais, pour autant, se libère-t-il ?
Peut-être que lorsque l’homme prend conscience du mauvais traitement qu’il a
reçu, il veut se venger ? Le phénomène se perpétue ?
(Chester Barnard formule, dans The functions of the executive, une théorie qui me
semble proche de celle-ci. Il disait que l’on avait appris à l’Américain à
aimer l’argent pour mieux le contrôler.)
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