La banque centrale suisse lâche son franc : cataclysme. A la fois pour l'économie du pays et pour l'euro.
Cela pose la question de l'indépendance des banques centrales, dit Paul Krugman.
Si elles perdent cette indépendance, c'est la fin du monétarisme, une variante du laisser-faire du libéralisme première manière (ou néolibéralisme)... Après le monétarisme ?
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