Une erreur de plus. Je me rends compte qu'en consacrant 4 livres et 12 ans aux changements des entreprises j'ai fait du hors sujet. Cela n'intéresse pas le Français. Ça le renforce même dans l'idée que le changement c'est les autres.
Or, le changement le concerne au premier chef. Et pas parce que le "progrès", quel qu'il soit, nous demanderait de changer. Le progrès c'est à nous d'en décider, pas à Uber ou aux intellects d'élite qui nous gouvernent. Mais parce que notre existence nous place sans cesse en situation de stress, voire d'injonction paradoxale, et que s'en tirer c'est changer, et que ce changement est le plus difficile de tous. Et que lorsqu'on parvient à le réussir, mener un changement social devient facile.
Or, le changement le concerne au premier chef. Et pas parce que le "progrès", quel qu'il soit, nous demanderait de changer. Le progrès c'est à nous d'en décider, pas à Uber ou aux intellects d'élite qui nous gouvernent. Mais parce que notre existence nous place sans cesse en situation de stress, voire d'injonction paradoxale, et que s'en tirer c'est changer, et que ce changement est le plus difficile de tous. Et que lorsqu'on parvient à le réussir, mener un changement social devient facile.
Explication. On agit en fonction d'un modèle que l'on a en tête. Changer c'est changer ce modèle. C'est reprogrammer son cerveau ! Et cela se fait en se plaçant dans des conditions qui nous forcent à nous transformer (l'école en est un exemple élémentaire). Une fois que l'on a changé sa vision du monde, il est possible de le faire changer à la manière du stratège chinois, par presque rien. On aperçoit alors "la voie".
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