Je me suis mis à lire la littérature anglaise du 19ème siècle. Contrairement à ce que je pensais, on y parle des aspects négatifs du progrès. L'air, du fait des fumées de charbon, était irrespirable. La campagne était retournée par les mines de charbon. Le peuple connaissait une pauvreté "monstrueuse" au sens "monstre de cirque". Et ceux qui partaient aux colonies étaient rapidement victimes de maladies tropicales.
Peut être que la vie des nations est comme celle des individus : on ne prend conscience de ses malheurs, et de ses erreurs, qu'une fois qu'ils sont passés ? C'est grâce à cela que l'on parvient à changer ?