L’économiste Brad DeLong divise le monde. La Chine a procédé à une relance keynésienne et s’en porte bien. Ensuite, il y a le reste du monde qui ne sait à quel saint économique se vouer et qui en souffre. On y trouve la sous-catégorie de ceux qui manquent de crédibilité et qui ont dû restructurer leur économie dans la douleur.
Et puis il y a l’Angleterre. Personne ne lui demandait rien, elle pouvait emprunter à pas cher, y compris à son peuple. Pourquoi s’est-elle jointe au dernier camp ? Alors que rien ne se dessine pour mettre au travail le million de chômeurs qui en résultera ?
Ces derniers temps, il semble qu’il n’y ait plus que des économistes keynésiens. Sélection naturelle ? Les économistes monétaristes ont été dévastés par la crise qui a démontré l’erreur des hypothèses dont dépendait leur art ?
2 commentaires:
Mais la Chine a les moyens d'une relance Keynésienne, ce qui n'est le cas ni des USA, de l'Europe ou du Japon.
Je ne pense pas que les Allemands soit très keynésien.
Je crois surtout que ce que pensait Brad DeLong est que la rigueur n'était pas de rigueur.
Effectivement les Allemands ne sont pas keynésiens.
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