Un film de Léon Dai, 2009, que je n’ai pas vu.
Le film raconte un fait divers : l’histoire d’un père célibataire pauvre, mais heureux jusque-là, qui se heurte à l’administration kafkaïenne taïwanaise pour conserver le droit d’élever sa fille. Il a si bien ému Taïwan, qu’il a entraîné des « réformes de l’administration publique, sommée de « s’humaniser » face à la détresse des citoyens ordinaires ».
Ou comment l’art sait jouer sur les forces invisibles qui contrôlent la société, pour la transformer.
Compléments :
- J’ai découvert ce « mega hit » du cinéma taïwanais grâce à celui qui le distribue en France.
- Entreprise et art.
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