- A l'image des méthode de la programmation en "open source" (ou du modèle wikipedia), des "rites" prêts à l'emploi. (On se compte sur les réseaux sociaux, et on se retrouve sur les ronds-points.)
- Il faut un objectif pour lequel on est prêt à aller jusqu'au bout. Lorsqu'on l'obtient, on s'arrête (ce qui manque à la grève des retraites, ou aux Gilets jaunes), par exemple "fermeture de..."
- Il n'y a pas besoin de "porte parole".
- En revanche, il peut y avoir besoin d'une "intelligence" en amont : il faut transformer la grogne en un objectif à atteindre, qui va, effectivement, éliminer le problème qui a suscité le mécontentement. (Voir, à titre de bon exemple, l'analyse de White Working Class : la grogne de la classe moyenne américaine vient d'une dégradation de ses conditions de vie, or, il suffirait de mettre en place des programmes de formation pour résoudre le problème tout en aidant l'économie.) Là aussi, cela peut être un rite.
- Ce qui compte est la crédibilité, donc la détermination.
mercredi 22 janvier 2020
A quoi ressemblera l'après syndicalisme ?
Partis politiques, syndicats, c'est fini ? Une société homogène ne se constitue plus en groupes susceptibles d'avoir une représentation fixe ? Va-t-on vers des mouvements "auto organisés" ? Quelque-chose qui ressemblerait à la "gestion des biens communs" étudiée par l'économiste Elinor Ostrom ?
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