Il y a vingt ans, les économistes nous disaient qu’il ne
fallait absolument pas taxer le capital. Uniquement le travail. C’était
démontré mathématiquement, pas besoin de réfléchir. (Le mécanisme d’optimisation
des marchés est entravé par l’impôt.)
Il semblerait que l’on pense différemment maintenant.
Il y a des effets pervers que l’on ne soupçonnait pas :
celui « qui travaille dur » est taxé, pas l’héritier ; pour
éviter les impôts, certains sont payés en actions, plutôt qu’en salaire. Et il
y a l'aléa démocratique. Les électeurs sont fatigués des inégalités et
pourraient élire des gouvernements qui exproprient le capital. Mieux vaut
prévenir que guérir.
Analyse complète : Zero-sum debate.
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