La tendance de l'homme et de l'entreprise, c'est le statu quo. Thème qui fait consensus chez les universitaires du management. Ils pestent contre nos vices.
La société n'est que normes. Elle élimine les renégats. Ne nommons-nous pas "élite" des êtres qui ont subi deux ou trois décennies de sélections quasi quotidiennes par la conformité ?
Curieusement, les universitaires du management ne se demandent pas pourquoi, à l'envers, l'entreprise ou la société change aussi facilement. Le dirigeant de France Télécom a accumulé 70md de dettes, sans aucune opposition. Idem pour celui d'Alcatel, qui a fait à peu près tout le contraire de ce qu'il fallait faire, jusqu'à ce que disparition s'ensuive. Et que dire des réformes du gouvernement, dont, article après article, on apprend qu'elles sont allées dans le mauvais sens ? Envahir l'Afghanistan et s'en retirer n'a demandé qu'un claquement de doigts au président américain.
Conclusion ? La façon dont se fait le changement obéit à des normes culturelles. Dans notre société soit il coince, soit il est incontrôlé. Il est probable que nous devons changer les mécanismes qui régissent notre société de façon à trouver un juste milieu. Ce qui est peut-être ce dont la démocratie est le nom.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire