Les révolutionnaires semblent avoir voulu supprimer les intermédiaires. Il se trouve que nous vivons un temps d'intermédiaires. Il y a les plates-formes, d'abord, l'intermédiaire construit un marché et en tire un bénéfice monopolistique. Mais il y a aussi celui, à l'autre extrême, qui fait profession de défendre la veuve et l'orphelin, le "marginal", et qui est en dehors des lois qu'il fait appliquer. Il vit en grand propriétaire, alors qu'il honnit les grands propriétaires.
Les intermédiaires doivent exploiter un goulot d'étranglement social et en tirer un bénéfice indu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire