Il semblerait que la grippe H1N1 ait pris la place de la grippe usuelle. Combinées elles ont tué moins de monde qu’à l’habitude.
Mais l’erreur a eu des conséquences économiques sérieuses et pourrait prédisposer la population à réagir incorrectement à la prochaine alarme.
Raison de cette déroute ? L’OMS n’a pas évalué le niveau exact du danger avant d’alerter la planète. Conclusion de l’article :
Les décisions contestables de l'OMS montrent que ses responsables sont soit trop rigides soit incompétents, soit les deux, pour apporter les modifications voulues au système d'alerte de pandémie - ce qui ne surprend plus d'une organisation critiquable sur le plan scientifique, arrogante et qui n'a de compte à rendre à personne. Elle est peut-être capable d'effectuer une surveillance sanitaire sur le plan mondial, mais son rôle politique doit être considérablement réduit.
L’OMS : nouvel exemple des méfaits du carriérisme ?
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