On ne pourrait pas publier cela chez nous m'ont dit deux journalistes de ce qui s'écrivait chez les Anglo-saxons. Ce souvenir m'est revenu en lisant un article de The Atlantic. On y explique le point de vue de l'électorat de M.Trump.
I - Il est opposé à M.Obama, parce que sa réforme des assurances a conduit à retirer de l'argent de leur sécurité sociale pour en faire profiter les non citoyens.
The Obama administration had laid hands on Medicare. It hoped to squeeze $500 billion out of the program from 2010 to 2020 to finance health insurance for the uninsured. You didn’t have to look up the figures to have a sense that many of the uninsured were noncitizens (20 percent), or that even more were foreign-born (27 percent).
II - Idem pour la classe riche, qui dirige le parti républicain. Elle est favorable à l'immigration, parce que c'est bon pour ses intérêts
Owners of capital assets, employers of low-skill laborers, and highly compensated professionals tend to benefit economically from the arrival of immigrants. They are better positioned to enjoy the attractive cultural and social results of migration (more-interesting food!) and to protect themselves against the burdensome impacts (surges in non-English-proficient pupils in public schools). A pro-immigration policy shift was one more assertion of class interest in a party program already brimful of them.
Pourquoi parle-t-on de ces sujets aux USA, et pas en France ? Peut-être parce qu'en Amérique, il est normal de défendre son intérêt. L'intérêt de l'électeur de M.Trump est de conserver ses "avantages acquis" dit l'article (en précisant que le concept vient de chez nous). En France, nous sommes supposés être des modèles de vertu ?
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