"Capitalism is the astounding belief that the most wickedest of men will do the most wickedest of things for the greatest good of everyone." John Maynard Keynes.
Il y a du paradoxe dans la pensée de l'entrepreneur anglo-saxon. D'une part, il y a le "Marché", le bien absolu (récemment on parlait "des Marchés" (financiers), comme de justiciers). D'une autre, il considère que sa vie est un combat contre la masse, à commencer par ses ouvriers. Les livres sur l'histoire du capitalisme le montre en homme courageux, prêt à se battre seul contre tous, mais avec la puissance de feu d'un destroyer, s'il le faut. Ce qui n'est pas sans rappeler le courage de poignées de colons anglais affrontant les révoltes de colonisés indiens. L'entrepreneur a reconnu très tôt les mérites de la science. En particulier, celle de la manipulation de masses.
Pour lui, le peuple n'est pas le marché ?
(Citation venue d'ici. En France, il pourrait y avoir quelque chose de similaire. Les forces de la Raison affronteraient le peuple pour lui faire voir la Lumière. Là aussi la fin justifie les moyens. Voir le livre de J.B. Fressoz sur l'histoire du progrès technique.)
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