L’Europe accueille avec reconnaissance les capitaux chinois, alors que l’Amérique les rejette. Qui a raison ?
The Economist pense que c’est l’Europe (Welcome, bienvenue, willkommen). Il y a plus à gagner qu’à perdre avec la Chine.
Difficile de savoir quoi penser de la Chine.
- Elle semble avoir une vision extrêmement noire du monde, estimant qu’elle a une revanche à prendre sur le colonialisme occidental. Deux stratégies de nuisance possible : dérober le savoir faire occidental (délocalisations), plutôt que développer le sien propre, et bloquer le fonctionnement des démocraties occidentales (par une forme de diviser pour régner que les Anglais aiment à appliquer au continent européen).
- Le succès de cette stratégie dépend des divergences d’intérêt entre européens : entre élite globalisée et peuple qui ne l’est pas, et entre nations. Elle dépend aussi beaucoup de l’habileté de la Chine, qui, heureusement, jusqu’ici, ressemble plutôt à un apprenti sorcier.
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