Il y a quelques jours j’entendais un syndicaliste grec interviewé par la BBC dire que l’Europe n’avait pas d’autre choix que de sauver la Grèce. Alors à quoi bon la rigueur, il y aura toujours quelqu’un pour payer ses dettes.
Quant à The Economist, il se demande s’il y a un Grec pour racheter l’autre. Tous des assistés ?
Et la proposition d’assistance proposée par les banques françaises ? Une « machination ». Elle est dans leur intérêt, pas dans celui de la Grèce. (A bank bail-out by another name?)
Compléments :
- Pour Juncker, la Grèce devra se résoudre à perdre une grande partie de sa souveraineté : seule solution restante ?
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