Ce type de réseau social doit être alimenté par un flux d’informations.
C’est du twitter ou du blog, mais en vase clos.
Or, à de rares exceptions, les gens avec qui j’aurais envie de
converser dans un tel cercle, sont irrémédiablement réfractaires aux réseaux
sociaux. Pour le reste, j’ai déjà un blog.
Google+ serait-il destiné aux collectivités de leaders d’opinion
des TIC ?
2 commentaires:
Un réseau social ne sert que par les gens qu'on y rencontre. Ta cible n'est pas sur Google+. Reste sur ton blog.
C'est juste. Merci du conseil.
En fait, cette réflexion concernant Google+ m'a permis de comprendre qu'un grand intérêt des réseaux sociaux était de suivre "l'actualité" de personnes que l'on ne voit pas tous les jours, mais avec qui on ne veut pas perdre le contact.
(Jusque là, je pensais que c'était un moyen de mesurer son influence, sa célébrité.)
Une technique utile : ajouter les pages Google+, Facebook, LinkedIn... à celles qu'ouvre par défaut le navigateur web, et aller les regarder de temps à autres...
Tout ceci montre que je ne suis pas du type "early adopter". Je découvre ce que beaucoup savent avec des années de retard!
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