Discussion avec une directrice de formation, qui s’interroge sur la sélection de coach pour les managers de son organisation.
Elle rejoint un argument d’Arrow concernant la médecine : le coach vénal est un mauvais coach, ses intérêts s’opposent à ceux de la personne qu’il accompagne.
Quelques indices favorables :
- propose un petit nombre de sessions (4 plutôt que 10),
- fait du coaching comme un hobby plutôt que comme un métier,
- payé par le coaché,
- a une formation initiale de psychologue, plutôt qu’une formation complémentaire de coaching.
- J'ai du mal à comprendre qu'à une époque de grands licenciements on offre des coachs aux managers, comme si l'augmentation de leurs salaires allait avec celle de leur incompétence.
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