Samedi, j'entendais parler de Sadam Hussein. En sous-main, il aurait encouragé certains courants extrémistes, ennemis de ses ennemis. On les retrouverait aujourd'hui.
C'est curieux. C'est aussi vrai de Bashar el Assad, qui a relâché les pires fanatiques de ses geôles, de façon à apparaître comme un rempart face au chaos. Et il en était peut-être de même avec M. Kadhafi. Il semblait penser que l'Occident ne prendrait pas le risque de le liquider, puisqu'il contenait Al Qaeda.
Les changements que l'Occident a tentés en Orient ont raté. Que ce soit le dictateur, la démocratie (parfois par la force, comme en Iraq) ou les bombes (qui se préparent). Et s'il était temps de se demander s'il n'y a pas d'autres solutions, un peu moins théoriques, qui tiennent compte de la nature des cultures concernées ?
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