Nietzsche parle de volonté de puissance, et Bergson d'élan vital. L'un plie le monde à son désir, l'autre crée. En 40, Bergson a perdu une manche contre Nietzsche. Mais sera-ce toujours comme cela ?
De la création naît la complexe, qui rend difficile de créer. D'où la tentation de détruire, par frustration ? La volonté de puissance est pour les faibles, l'amour pour les forts, ceux qui ont le génie de la création ? (D'ailleurs, la complexité n'est peut-être pas un obstacle à la création : pour stimuler l'inspiration, il faut de la matière...)
(Peut-être, selon mon interprétation de la doctrine chrétienne, l'univers contient-il un peu plus d'amour que de haine ? Une autre façon d'interpréter la théorie du big bang ?)
De la création naît la complexe, qui rend difficile de créer. D'où la tentation de détruire, par frustration ? La volonté de puissance est pour les faibles, l'amour pour les forts, ceux qui ont le génie de la création ? (D'ailleurs, la complexité n'est peut-être pas un obstacle à la création : pour stimuler l'inspiration, il faut de la matière...)
(Peut-être, selon mon interprétation de la doctrine chrétienne, l'univers contient-il un peu plus d'amour que de haine ? Une autre façon d'interpréter la théorie du big bang ?)
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