Plus l'objectif est difficile, plus le changement est facile. La raison en est simple : il est difficile d'améliorer un peu ce que l'on fait déjà bien. En revanche, pour changer radicalement, il faut chercher des idées totalement nouvelles, ce qui est relativement facile. Dans le domaine des sciences du management, la technique qui en résulte s'appelle le "stretch goal" (changement systémique).
Et si M.Trump était notre stretch goal ? Si nous croyons réellement au changement climatique, il va falloir compenser le manque de vertu américaine. Ce sera même bon pour les Américains. Car, si nous y parvenons, ils pourront nous imiter.
C'est, d'ailleurs, une autre technique de conduite du changement. Tout le monde n'avance pas à la même vitesse. Une dynamique de groupe se lance par l'exemple du succès. Il déclenche une concurrence, qui amène chacun à vouloir dépasser l'autre. Louons Trump ?
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