jeudi 17 novembre 2011

Si Paris l’avait su

Film de Terence Fisher et Anthony Darnborough, 1950.

Très ingénieux. Mais je me serais attendu à ce que l’histoire d’une ingénue anglaise perdue chez des barbares incompréhensibles, perfides et lubriques (les Français) soit plus terrifiante.

L’argument, seul, suffisait-il à créer l’effroi ?

Compléments :

  • Selon The Economist (Charlemagne: English is coming), on retrouve ici un des fantasmes anglais, que les sociologues, probablement, appellent « brits in the shit ». 

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