Un ami me racontait que la nouvelle directrice de son école
d’ingénieurs a déclaré à ses anciens que, vue l’évolution du niveau d’admission,
ils ne seraient pas reçus aujourd’hui. Effectivement, les riches donateurs qui
étaient dans la salle n’ont pas eu l’intelligence de reconnaître ses mérites.
Jadis, les diplômés des grandes écoles pensaient qu’ils
appartenaient à une confrérie de génies. Nos grandes écoles ont maintenant
honte de leur passé. Elles ne créent plus, elles se classent. Shanghai est
passé par là.
1 commentaire:
Sauf que aujourd'hui la calculatrice programmable avec tout le programme d'étude est autorisée aux concours d'admission, avant ils faisaient tout avec un stylo et un papier.....
Donnez un stylo et un papier à un jeune qui ne sait plus reduire une fraction ou extraire une racine carrée, ou étudier une fonction un peu perverse...
Enregistrer un commentaire