A San Francisco, trois fois moins de courses en taxi. Grâce à Uber. Et ce en seulement 2 ans.
J'imagine que cela a du faire quelques dégâts chez des gens modestes qui n'avaient pas besoin de cela. Et qui ont probablement peu de moyens de faire autre chose. A moins de travailler pour Uber ? (Mais est-ce très rentable ?) Est-ce comme cela que doit se conduire le changement ? Et s'il était temps de réécrire le mythe du progrès, celui qui veut que le bon capitaliste, porteur de l'innovation, balaie les mauvais pauvres, défendant leur gagne pain ?
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