En France et à l’étranger, l’affaire DSK a conduit à examiner les mœurs de notre couche dirigeante.
- On découvre que ses pratiques s’appelleraient ailleurs du harcèlement : « en France le harcèlement sexuel n’est pas accepté sur le lieu de travail – sauf en politique ». « à gauche, en particulier, il semblerait que refuser une avance, même non désirée, est, en quelque sorte, bourgeois ». (What did they know?)
- Et que les journalistes s’y prêtent avec bonne grâce. Ce serait même une ficelle du métier : l’homme politique étant un mâle libidineux, depuis Françoise Giroud, les journaux lui envoient des femmes aguichantes pour récolter ses confidences. (Hommes politiques et femmes journalistes : liaisons dangereuses ? - LeMonde.fr)
Tout cela donne une bien étrange image des valeurs de nos élites, et de leur vision du monde, et rend sympathique M.Berlusconi.
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