Un paradoxe qui intriguait un ami, médecin du travail au siège de Bouygues : les ouvriers du bâtiment peuvent avoir les pires maux et handicaps, ils veulent travailler ; les bureaucrates sont des malades imaginaires.
Plus de 20 ans après qu’il m’ait raconté cette histoire, je lui ai peut-être trouvé une explication. Et elle se trouve dans le billet précédent.
Le travail des ouvriers a un sens, pas celui des bureaucrates. Une même tâche peut être vue comme une punition ou comme une récompense, selon qu’on lui ait donné l’un ou l’autre sens. On peut conduire une personne au suicide en lui faisant faire ce qui enchanterait quelqu’un d’autre !
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