J’apprends que l’huile de palme est utilisée dans 50% des produits que l’on trouve en supermarché. Or sa production détruirait les forêts d’où colère des écologistes qui s’en prennent aux multinationales qui l’utilisent. Elles doivent battre en retraite.
Les multinationales se trouvent de plus en plus responsables de l’ensemble de leur chaîne logistique. Or le grand changement des dernières décennies semble avoir consisté à construire une « supply chain » qui évite les contraintes environnementales et les droits de l’homme, et réduise ainsi les coûts de fabrication.
Nouvel exemple de la lutte entre la finance internationale et la société ? La première prend toujours la seconde par surprise, mais cette dernière parvient quand même, à long terme, à remettre au pas les contrevenants ?
Compléments :
- Mes réflexions ont été suscitées par The other oil spill.
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