DURAND, Rodolphe, VERGNE, Jean-Philippe, L’organisation
pirate, Le bord de l’eau, 2010.
Le principe du capitalisme serait la normalisation et l’échange.
La normalisation permet l’échange. L’Etat est nécessaire à la normalisation.
Progressivement , il conquiert les « zones grises ».
Hier les continents, aujourd’hui le vivant (qu’il brevète). Et il le fait grâce
à des entreprises monopolistes, Compagnie des Indes (et autres Google). En
réaction, surgissent des pirates, coureurs de mers, ou d'Internet. Par contraste avec les monopoles bureaucratiques, ce sont des
démocraties idéales. Une fois le nouveau territoire conquis, le libre
échange s’y installe.
Qu’est-ce qui pourrait mettre un terme à ce processus ?
Les institutions transnationales qui contrôlent les Etats, le succès des
pirates modernes, qui s’en prennent au génome humain.
1 commentaire:
Enfin un bouquin interessant, qui se lit comme un roman, et qui permet a un novice comme moi en matiere de finance de comprendre un tant soit peu ce monde "barbare" (a priori!)
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