En soi, pour soi, en soi et pour soi. Voici une façon de présenter la dialectique de Hegel. C'est peut-être aussi la dialectique du changement.
En tout cas, je me demande si cela ne correspond pas à la marche de la vie. On commence par être. Puis on découvre ce que l'on est. C'est alors que les choses intéressantes commencent. Car, c'est à ce moment qu'on a l'occasion de devenir ce que l'on aimerait être.
Plus facile à dire qu'à faire ? Il me semble que peu de gens tentent l'aventure.
(Ce processus semble correspondre à la marche de la raison. Quand le corps à un problème, il le soumet à la raison, qui commence par le décoder, ce qui lui permet, ensuite, d'agir.)