Film de Michael Curtiz, 1935.
Histoire bien ficelée, qui respecte (ou définit ?) le genre du film de pirate.
J’y ai aussi vu une allégorie des valeurs américaines. Il y a un procès où l’individu défend avec courage ses droits bafoués par une justice inique (anglaise). Le pirate c’est le self made man, qui fait fortune en partant de zéro, grâce à son seul talent. Et il n’est pas sans valeurs : il ne tue que le strict nécessaire. L’héroïne est une femme de caractère, qui n’a pas froid aux yeux. Et le vaisseau est une entreprise, où chacun reçoit les dividendes de son investissement, et s’appelle par son prénom.
Compléments :
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