Le Nouvel Économiste (La dérive médiatique) écrit que les schémas de pensée simplistes de nos médias (« émotion », « morale », « oppositions primaires ») les rendent incapables de regarder en face « la complexité du monde », donc de remplir leur mission vis-à-vis de nous.
Ce qui m’a amené une curieuse pensée. Et si, parce qu’ils croient que le monde est abjecte, les journalistes avaient transigé avec leur déontologie ? Mais si le monde peut se transformer en bien, alors ils se sont comportés en criminels... Et si c’était cela qui les rendaient hostiles au changement ?
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