Si j’en crois ce que j’entends, Dauphine, université
apparemment d’élite, recrute initialement essentiellement dans ses environs. Des « gosses de riches » dit-on. Les lycées parisiens auraient un avantage
concurrentiel déterminant sur ceux de banlieue ou de province. Après la
licence, les choses changent. Le mélange devient plus représentatif de la
population française. Ce qui veut dire que le « gosse de pauvres »
est relativement plus performant que le « gosse de riches », ou, du
moins, qu’il est le fruit d’une sélection plus exigeante ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire