A quelqu’un qui me demandait si je croyais, j’ai dit que je
n’avais pas besoin de Dieu. La théorie de l’émergence (ou, plutôt, de la complexité), selon laquelle les individus génèrent les règles qui les gouvernent, me suffit.
Une métaphore pour m’expliquer. La ruche. C’est le battement
d’ailes des abeilles qui maintient la ruche à température constante.
Cela a des conséquences...
- Cela signifie la responsabilité. Le « Dieu » de l’émergence n’est que le résultat de notre action collective. Il ne fait pas notre bien contre notre volonté.
- Cela nie aussi le laisser-faire libéral. C’est parce que nous agissons que ce qui devait arriver arrive.
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